Pas besoin de passeports ou de valises, le dernier album de Justin Kauflin "Coming Home", nous embarque dans un voyage multicolore et le décollage est immédiat !
Depuis qu'il a perdu la vue à l'âge de 11 ans, au lieu de tout voir en noir, Justin Kauflin dit qu'il voit à travers le regard de son esprit et que tout est extrêmement coloré; alors avec cet album, il a décidé de peindre ses images avec une grande palette de sons.
Produit par Quincy Jones et Derrick Hodge, aux studios Westlake, le pianiste américain s'est entouré de Corey Fonville à la batterie, de Chris Smith à la contrebasse et d'Alan Parker à la guitare
Depuis qu'il a perdu la vue à l'âge de 11 ans, au lieu de tout voir en noir, Justin Kauflin dit qu'il voit à travers le regard de son esprit et que tout est extrêmement coloré; alors avec cet album, il a décidé de peindre ses images avec une grande palette de sons.
Produit par Quincy Jones et Derrick Hodge, aux studios Westlake, le pianiste américain s'est entouré de Corey Fonville à la batterie, de Chris Smith à la contrebasse et d'Alan Parker à la guitare
Extrait "Coming Home." Ce morceau sert d'invitation à rejoindre Justin Kauflin dans son univers pour ressentir le monde à travers des couleurs et des textures vibrantes toujours changeantes.
Musiciens
Corey Fonville - batterie
Chris Smith - contrebasse
Alan Parker - guitare électrique et acoustique
Extrait "John My Beloved" reprise du titre de Sufjan Stevens.
Ecoutez sur :
Achetez/Téléchargez l'album sur
ou chez votre disquaire du coin ^-^
Chronique déjà sur le blog :
News du jour : "Dedication" Justin Kauflin.
LIENS
Justin Kauflin
Quincy Jones
Musiciens
Corey Fonville - batterie
Chris Smith - contrebasse
Alan Parker - guitare électrique et acoustique
TRACKLIST
1 Coming Home 4:52
2 Looking Forward 4:30
3 Pendulum 6:57
4 Transition 1:17
5 Lost 5:20
6 Country Fried 5:05
7 John My Beloved 5:51
8 Present Day 2:17
9 Strawberry Fields 6:38
10 Somethin' Somethin' 5:09
11 Somethin' Somethin' Revisited 1:49
12 The Carousel 3:41
13 Strawberry Fields Solo 1:25
Extrait "Strawberry Fields" reprise du titre des Beatles.
Quand le poulet frit servi dans la famille de Justin Kauflin, se transforme en un croustillant "Country Fried" à déguster avec les oreilles... MIAM !
Né le 10 Mars 1986 à Silver Spring, Justin Kauflin a commencé la musique à l'âge de 4 ans (violon, puis piano), et c’est à 11 ans qu’il perd la vue, des suites d’une maladie rare.
1 Coming Home 4:52
2 Looking Forward 4:30
3 Pendulum 6:57
4 Transition 1:17
5 Lost 5:20
6 Country Fried 5:05
7 John My Beloved 5:51
8 Present Day 2:17
9 Strawberry Fields 6:38
10 Somethin' Somethin' 5:09
11 Somethin' Somethin' Revisited 1:49
12 The Carousel 3:41
13 Strawberry Fields Solo 1:25
Extrait "Strawberry Fields" reprise du titre des Beatles.
La symbolique des titres :
"Coming Home" est dédicacé à l'état de Virginie, là où sa famille réside.
"Coming Home" est dédicacé à l'état de Virginie, là où sa famille réside.
"John My Beloved" est dédicacé à la ville de Brooklyn, où il habité.
"Pendulum" est dédicacé à la ville New York, qui peut être le plus bel endroit du monde et aussi tout son contraire.
"Strawberry Fields" est un lieu imaginaire comme un refuge
"Lost" est un voyage dans le monde, un moment où Justin Kauflin s'est senti déconnecté et hors de son élément, aussi bien émotionnellement que physiquement.
"Pendulum" est dédicacé à la ville New York, qui peut être le plus bel endroit du monde et aussi tout son contraire.
"Strawberry Fields" est un lieu imaginaire comme un refuge
"Lost" est un voyage dans le monde, un moment où Justin Kauflin s'est senti déconnecté et hors de son élément, aussi bien émotionnellement que physiquement.
Quand le poulet frit servi dans la famille de Justin Kauflin, se transforme en un croustillant "Country Fried" à déguster avec les oreilles... MIAM !
Né le 10 Mars 1986 à Silver Spring, Justin Kauflin a commencé la musique à l'âge de 4 ans (violon, puis piano), et c’est à 11 ans qu’il perd la vue, des suites d’une maladie rare.
Il se consacre alors au piano et devient très vite attiré par la liberté du jazz. A 15 ans, il joue en professionnel avec le batteur de jazz Jae Sinnett et rencontre lors de ses études à l’université, le trompettiste Clark Terry, qui devient son mentor. En 2008, diplômé en interprétation jazz, il s’installe à New York.
Vous pouvez à travers le film documentaire "Keep On Keepin’ On", sorti en 2014, découvrir la relation fraternelle entre Clark Terry et Justin Kauflin, et aussi la rencontre avec Quincy Jones, qui décidera de prendre sous son aile le jeune pianiste.
Extrait "John My Beloved" reprise du titre de Sufjan Stevens.
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Chronique déjà sur le blog :
News du jour : "Dedication" Justin Kauflin.
Justin Kauflin
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