Entre rêve et cauchemars, L'Impératrice vous emmène en ballade sur les champs Elysées du cinéma...
Découvrez le clip "Paris", réalisé par Clémence Demesme, avec Dorcas Coppin et la participation de Marina Foïs, produit par Mélodie Saba / Handsome.
Pulp Fiction, Twin Peaks, L'enfer...
Paroles :
J'entends les murmures de la ville
Découvrez le clip "Paris", réalisé par Clémence Demesme, avec Dorcas Coppin et la participation de Marina Foïs, produit par Mélodie Saba / Handsome.
« Dans le clip de Paris j’ai voulu raconter le destin d’une jeune femme emportée par ses désirs de gloire. Paris nous fait rêver. Cette ville brille dans la nuit par ses étoiles réelles qu’elle a su faire grandir, mais aussi par les âmes qu’elle consume. A travers le rêve d’une jeune femme, nous traversons différents styles et époques du cinéma. Les références cinématographiques s’entremêlent, certaines apparaissent à nous clairement alors que d’autres s’entrechoquent et se croisent. Les rôles qu’elle traverse sont le fruit d’un fantasme, d’une idée qu’une jeune âme débarquée à Paris peut se faire du cinéma. Mais saura t-elle garder la notion du réel?
J’ai voulu construire ce clip comme une mise en abîme étourdissante entre deux flammes : celle qui anime nos désirs et celle qui les brûle. » Clémence Demesme
"Paris" L'Impératrice, extrait de l'album "Matahari."
J’ai voulu construire ce clip comme une mise en abîme étourdissante entre deux flammes : celle qui anime nos désirs et celle qui les brûle. » Clémence Demesme
"Paris" L'Impératrice, extrait de l'album "Matahari."
Hé ! On s'amuse à retrouver les références aux scènes mythiques du cinéma ???
Pulp Fiction, Twin Peaks, L'enfer...
Paroles :
J'entends les murmures de la ville
Que la nuit a mise à nu
Le fracas des automobiles qui filent
Juste un instant s'est tu
Dans la brume électrique elle dort
Et son corps encore inconnu
Dans la brume électrique elle dort
Et son corps encore inconnu
Laisse entrevoir
Son coeur qui cogne un peu plus fort
Son coeur qui cogne un peu plus fort
Toutes ces couleurs qui courent encore
Est-il trop tôt, est-il trop tard ?
C'est comme une fille qu'on embrasse
C'est comme une fille qu'on embrasse
Mais qu'on ne voit jamais de face
Le refrain sans accords
Des sirènes du soir
C'est comme une fille qu'on embrasse
C'est comme une fille qu'on embrasse
Mais dont le souvenir s'efface
Dites moi si je sors
Du rêve, du cauchemar
Paris, parie avec moi
Paris, parie avec moi
Quitte à essayer cent fois
Paradis ou pas
Sous les pavés je te vois
Oh pari perdu avec toi
Oh pari perdu avec toi
Qui voudrait d’une vie comme ça ?
Paris tu n'es pas
Comme au cinéma
Elle ouvre les yeux sans efforts
Elle ouvre les yeux sans efforts
Se lève d'un seul coup
Et nous recrache par milliers
Sur ses Grands Boulevards
Fille noctambule fan de l'aurore
Fille noctambule fan de l'aurore
Femme de la nuit multicolore
Mais tes matins restent noirs
C'est comme une fille qu'on embrasse
C'est comme une fille qu'on embrasse
Mais qu'on ne voit jamais de face
Le refrain sans accords
Des sirènes du soir
C'est comme une fille qu'on embrasse
C'est comme une fille qu'on embrasse
Mais dont le souvenir s'efface
Dites moi si je sors
Du rêve, du cauchemar
Paris, parie avec moi
Paris, parie avec moi
Quitte à essayer cent fois
Paradis ou pas
Sous les pavés je te vois
Oh pari perdu avec toi
Oh pari perdu avec toi
Qui voudrait d’une vie comme ça ?
Paris tu n'es pas
Comme au cinéma...
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